Je m'appelle officiellement Rylan Jeremiah Pitsburry mais mes amis et la plupart des personnes m'appelle Ry' du moins quand nous somme dans l'intimité sinon au boulot c'est Rylan ou alors Mr. Pitsburry, ce que j'aime pas trop, je trouve que "monsieur" me vieillis et je n'ai pas très envie de vieillir du moins pour l'instant. Je suis né à New-York, la capital de la musique, de la mode et de tout ce qui vous voulez , j'adore cette ville, j'y suis né et toute mes attache y sont mais par moment on a besoin de souffler, de changer d'aire et ce qui m'arrive. NY commence à devenir comme un prison pour moi, je ne supporte plus de toujours voir et faire la même chose j'ai besoin de vacance, voilà pourquoi j'ai décidé de venir ici, à Baton Rouge. C'est la ville parfaite pour ce reposé et pour changer d'aire, il y a la joie de vivre et je sens bien que je vais m'y amuser, surtout en compagnie de mon frère.
LA FAMILLE
Même si je me trouvais inférieur quand je me trouvais avec mon frère j'aimais tout de même passer du temps avec lui, nous avions de bon délire et j'en gardais souvent de bon souvenir même si également nous avions des disputes bien sur souvent -ou presque toujours- enfantine. Mais il y avait aussi ces moments où nous étions soudés dans nos conneries que seuls nous, pouvions les faire.
« Vas-y passe la corde. » Avais-je alors dis à mon faire alors que je tenais un pauvre mec qui faisait que de m'énerver, nous étions tous les trois dans une salle de classe de notre lycée alors qu'il était fermé, oui nous étions entré par effraction mais cela n'avait été bien dure.
« Ouais. Tiens ! » Noah -car c'était le nom que mes parents avait donné à mon frère- me tendis la corde et j'attachais le pauvre Marc ou je sais pas quoi. Avec Noah on rigolera bien quand il sera découvert en caleçon demain matin par les élèves qui rentrerons dans leur classe, ou plutôt mes camarade quand on rentrera dans notre classe.
« T'as intérêt à ne pas nous balancer toi ! Ou tu aura une autre correction et bien pire ! » Fit mon frère avec un ton et une posture intimidant l'autre. De mon côté, je rigolais bien son sort et en prenais plaisir. J'aimais tellement faire des coups comme ça, ridiculiser les gens. J'étais parfois un peu un trop dure envers les autres mais au fond de moi j'éprouvais un manque, le manque d'un père qui faisait tourné sur tourné, les seuls moment où je pouvais le voir c'était en concert ou alors en backstage mais cela ne durais jamais très longtemps et quand je voyais mes copain d'enfance me raconter tout ce qu'ils faisaient avec leur père j'éprouvais de la jalousie. C'est d'ailleurs pour cela que je suis aussi proche de mon frère, pour lui aussi notre père lui manque et donc quand les autres enfants disaient qu'ils jouaient au foot ou quand il étaient en vacance allaient à la pêche avec leur père nous, nous faisions tout cela ensemble, mon frère étant plus vieux je le considérait presque comme un père. Et de mon côté je faisais la même chose avec ma sœur, je la protégeais et l'aider à avancer un peu comme un père.
UN SENTIMENT
Qu'est-ce que cela peut bien vouloir dire ? Quand je suis avec cette fille tout est différent, mon cœur se met à battre comme un fou, je ne sais pas quoi dire et mes mains devienne moite. Non. Ce n'est pas possible, je ne peux pas être amoureux, je sais que je ne connais pas ce genre de chose ou plutôt je refuse de connaitre ça mais je ne pourrais éternellement ignorer ça. Tout me ramène à cette fille, tout les jour et à chaque instant je pense à elle, c'est comme si elle m'avait envouté. Pourtant je déteste cela mais je déteste aussi m'enfermer dans une chose tout comme je déteste également la routine, si je lui dit tout j'ai peur qu'on me rejette, j'ai peur de me rendre dans une nouvelle vie où chacun de mes fait et geste auront une répercussion ou autre, si lui avoue ce que je ressens je ne veux pas rentrer dans une routine que je ne pourrais pas supporter mais je veux être avec elle. Brooklyn. La voilà, qui arrivait vers moi, mon cœur voulait que je cours vers elle, ma raison voulait que je fuis, je fis le choix de rester et d'aller vers cette fille qui m'envoutais. Cela faisait tellement longtemps que mon cœur voulait prendre le dessus que cette fois il le faisait et pour de bon, j'osais avancer, faire le pas quitte à être rejeté au moins je n'aurais pas de regret de ne pas l'avoir fait. J'arrivais devant cette belle brune un peu intimidé mais sure de moi.
« Brooklyn, je t'aime. » Avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit je lui dis directement ce que je pensais car si j'attendais j'allais me dégonfler et me taire comme à chaque fois, comme un gros lâche. Je ne savais plus où regarder, elle ou ailleurs mais mon regarde restait posé sur elle, je la regardais dans les yeux.
« Rylan, embrasse-moi. » Sur le coup je ne comprenais pas vraiment pourquoi est-ce qu'elle me disait ça mais j'agissais, cela faisait tellement longtemps que j'en avais envie. Je me rapprochais d'elle, passais ma main dans son cou, j'approchais doucement mes lèvres des siennes et je finis par l'embrasser. A ce moment j'oubliais tout, je me croyais seul avec Brooklyn et oubliais que nous étions sur un trottoir entouré de plein de personnes. Je fini par me reculer et l'observais de nouveau.
« Moi aussi je t'aime, Rylan. » Ce que je redoutais le plus était passé, j'arborais à présent un sourire, heureux que tout se soit bien passé mais aussi et surtout parce que la seule fille que je voulais me voulait aussi. Je tenais à présent ses mains et la regardais toujours dans les yeux.
« J'avais tellement peur de te le dire. » Je ne savais pas vraiment quoi faire, je n'avais jamais ressentis quelque chose d'aussi fort avant et cela m'intimidais.
« Je sais mais ne t'inquiète pas. Je le savais depuis longtemps j'attendais juste que tu me le dise. » Brooklyn passa un bras sur mes hanches et je passais par la suite un bras sur ses épaules et nous commencions à marcher.
« Comment tu savais ? » J'étais surpris de ce qu'elle venait de dire, d'où ma question, elle me répondit pendant que nous marchions, nous n'avions pas d'endroit en tête où aller mais du moment que je me trouvais à ses côté je ne m'en soucias pas.