La vie de Milo est un énorme secret pour tout le monde, personne ne le connait, du moins c'est ce que tout le monde croit. Il utilise le nom de Arthur Milo O'Neil, car c'est le nom qui était inscrit sur les plaques qu'il a au cou. Les seuls personnes à connaitre son histoire avant ce jour là, ce sont les membres de sa famille. Le problème, c'est que Milo ne les connait pas, ne sait pas qui ils sont et surtout, surtout, il ne sait pas ou chercher. Moi-même je ne connais pas son histoire avant qu'il ne perd la mémoire. (si quelqu'un veut être de sa famille où de ses amis, proches, j'ai une boîte à Mp toute prête pour ça.) Il faut savoir qu'il a disparut il y a quatre ans, mais il avait quitté son chez lui depuis un long moment étant dans l'armé Americaine, le nombre de temps, seule sa famille et ses amis le savent. Il peut être marié ou en couple, peu importe, mais il lui faut bien une vie avant, je suis ouverte à toutes suggestions, pour ceux qui veulent être dans cette vie d'avant.

ARABE - « القبطان! القبطان! نظرة! أميركي! اعتقد انه ميت! » Bien sûr je ne comprenais rien de ce qu'on disait, je ne savais même pas de quoi il parlait... j'étais allongé, là sur le sol. Je n'arrivais plus à bouger et je n'étais pas inconscient pour autant, j'entendais ce qui se passait autour de moi et je ne comprenais pas de ce qu'on pouvait bien dire. J'avais le coeur qui ralentissait à un rythme fou. J'essayais d'ouvrir les yeux, mais ça m'était impossible... Je n'arrivais plus à bouger mes jambes, comme si quelque chose les bloquait, j'avais l'impression que mon corps en entier était bloqué. J'essayais de me souvenir comment j'étais arrivé là, mais rien, je... Je... Je ne me souvenais de rien, je n'avais pas la force de me poser des questions, toute force m'abandonnait, je n'avais plus de force, je ne ressentait aucune douleur. Je tombais inconscient. Je me dit que ce ne devait pas être la première fois.

Des bruits de casseroles se firent entendre, puis des paroles incompréhensible à mes oreilles. Il y avait une femme, un homme et deux enfants, s'était les voix que je distinguais. J'étais allongé sur une payasse, je n'étais pas des plus confortable. Soudain, une odeur me vint au nez et je réussis à ouvrir les yeux et regardai le plafond de terre cuite. Je poussai un soupire et attirai l'attention de ceux qui m’hébergeait. Ils s'étaient tous approchez de moi et me regardait et me touchait pour savoir comment j'allais, si je me sentais bien. La femme se pencha au dessus de moi ce qui m'effraya sur le coup. Je me redresser rapidement et me reculai me plaquant au mur. Mes jambes n'avaient pas suivit et j'avais une douleur dans le dos, dans le haut du dos. Je poussai un hurlement de douleur et mes yeux se fermèrent. Je restai contre le mur avant de voir la femme poser sa main sur mon torse en me disant quelque chose. Je ne comprenais rien, mais elle finit par me calmer me faisant allonger à nouveau sur la payasse. JE ne savais plus qui j'étais, je ne connaissais même pas mon nom, ou le comment que j'étais arrivé, ou encore le pourquoi de mes blessures. Je ne savais rien. Je ne me souvenais de rien. Je me souvenais bien sûr comment parler, ou même penser, je n'ai pas un enfant, j'avais simplement oublié ma vie et aussi qui j'étais. Je me disais qu'il y avait une raison et que je ne devrais pas la découvrir, mais je dois vous le dire, je ne savais pas quoi dire. Face à cette situation, je me sentais emprisonné, de moi-même. La femme me garda allongé et replaça la couverture sur mes jambes. Pourquoi couverait-elle mes jambes? J'essayai de les bouger, mais rien, je sentis mon coeur accéléré je me redressai à nouveau, avec la même douleur que la première fois. Je dégageai la couverture et la panique pris vie. Un cris d'effrois sortit de ma bouche et j'essayais encore de bouger mes jambes, mes je ne les voyais pas bouger. Malgré tous mes efforts, rien ne se passait. Mes jambes étaient brûlées, mais je n'avais rien vu d'aussi effrayant. J'en avais une cassé, mais plié vers l'extérieur. Je ne l'avais jamais vu comme ça. Le mari, me voyant paniqué m'agrippa par les épaules me forçant à m'allonger, mais je me débâtait comme un malade. « LÂCHEZ-MOI! » J'avais beau le repousser, il ne me lâchait pas, jusqu'à ce que je n'aie plus de force et que j'abandonne. Je fixai le plafond avant de passer ma main sur mon front après l'avoir repousser. Je ne comprenais rien... On installa un enfant sur mon abdomen, puis l'autre. Je ne compris pas tout de suite, mais la femme m'attrapa par la main la serrant. Je baissai les yeux avant de voir l'homme replacer ma jambe. Je lui hurlais de ne rien faire, mais je me mis à hurler de douleur sans pour autant la sentir. Je m'étais accroché à la main de la femme la serrant du plus fort que je le pouvais. À voir son visage je lui faisais mal, mais ça ne duras pas longtemps. Je passai les jours suivant allongé sur la payasse sans comprendre ce qu'on me disait. On me donnait à manger, on me faisait boire et tout. Après une semaine, j'étais capable de me lever, mais marcher, j'en étais incapable. Je n'arrivais à rien. Je restais assis apprenant leur language et tout ce qui venait avec. J'apprenais à vivre comme eux, il m'appelait : معجزة (Morjiza). Ce qui veut dire Miracle en arable. J'avais prit l'habitude de ce nom, mais après un ans avec eux, j'avais appris à marcher, encore une fois, je revenais du marché, ils étaient là à m'attendre l'air tout triste. J'haussai un sourcil en m'approchant d'eux. J'eus la plus grande surprise de ma vie. « Moriza... Tu t'appelles Arthur Milo O'Neil... Tu es Premier Lieutenant dans les Forces armées Américaine... Nous te l'avions caché pour ton bien... » j'étais bouche bé. Pourquoi est-ce qu'on avait pu me mentir comme ça. Je me laissai tomber sur mes genoux fixant le sol. Il y avait cette fille, celle que je considérait comme ma soeur, elle s'était jeté sur moi me serrant contre elle. Au souper, c'était le calme plat, je n'avais même pas manger. « Je m'en vais. Je dois savoir qui je suis vraiment. Je m'en vais. Ce soir. » Je finis par me lever et agrippai mes trucs avant de sortir de la maison sans me retourner. À peine quelque temps plus tard, j'eus de la visite. « Mori... Milo... Attend... Je veux venir avec toi.. » Je m'étais retourner vers elle et l'avait regarder en baissant les yeux vers le sol, pas question que je l'amène avec moi. Je me retournai à nouveau et me mit à marcher, mais elle se mit à me suivre et elle ne me lâcha pas jusqu'à l'aéroport. Je n'eus pas le choix de l'amené avec moi... J'ai fais le tour des États-Unis à la recherche d'une famille qui serait la mienne, mais je n'ai rien trouvé Me voila donc à Bâton rouge vivant une vie qui n'était pas la mienne tentant de découvrir qui je suis.