Sujet: Benji' ♦ You say stop and I say go go go ! Ven 6 Mai - 19:36
Benjamin Christian Livingston
ϟ SURNOM(S) :Ben, Benji ϟ AGE :22 ans ϟ DATE DE NAISSANCE :30/07/1988 ϟ LIEU DE NAISSANCE :Paris ϟ ORIGINE(S) :Franco-Suisse ϟ STATUT CIVIL :Célibataire ϟ ORIENTATION SEXUELLE :Hétéro ϟ MÉTIER/ÉTUDES :Étudiant en Littérature ϟ GROUPE :vous trouverez la description des groupes ici On my own
inventéscénario pour choisir la case correspondante il vous suffit de mettre checked après "checkbox"
- franc - souriant - doux - gentil
- puéril - peu bavard - flemmard - naïf
QU'EST CE QUE TU FAIS A BÂTON-ROUGE EN FAIT ?J'ai découvert il y un mois que ma mère biologique vivait à Bâton-Rouge, j'ai donc décidé de m'y rendre bien déterminé à la retrouver pour apprendre à la connaître. A côté de ça, je suis des études de Littérature à l'université. Je compte bien essayer de vivre une vie paisible et tranquille dans cette charmante ville de Louisiane.
ET AVEC TES AMIS ? T'ES PLUTÔT DU GENRE SOLITAIRE OU PLUTÔT BIEN ENTOURÉ ?J'ai toujours été très solitaire, ce n'est pas que j'aime être seul, bien au contraire, j'aime être entouré, mais le problème, c'est que je n'ai jamais vraiment eu d'ami, enfant les autres me repoussaient à cause de ma maladie qui me rendait différent. Aujourd'hui, je n'ai pas assez confiance en moi pour m'adresser aux autres, et pourtant je souffre de cette solitude.
C'EST QUOI TON RÊVE ? LA CHOSE QUE TU VOUDRAIS RÉALISER A TOUT PRIX ? ET TON PIRE CAUCHEMAR ?Et bien retrouver ma mère. Je ne l'ai jamais rencontrée et j'ai d'ailleurs appris son existence il y a seulement quatre ans. Mes parents adoptifs ayant préféré attendre que j'eus dix-huit ans pour tout me dire. A part ça, je rêverai de devenir un célèbre écrivain.
C'EST QUI TA PLUS GRANDE IDOLE, LA PERSONNE QUE T'ADMIRE LE PLUS, CELLE A LAQUELLE TU VEUX RESSEMBLER ? ET LA PERSONNE QUE TU DÉTESTE LE PLUS, CELLE A LAQUELLE TU VEUX SURTOUT PAS ÊTRE COMPARÉ ?Ça va peut-être faire un peu cliché ce que je vais dire, mais ma plus grande idole, ou plutôt mes plus grandes idoles sont mes parents adoptifs, alors que la plupart des gens n'aurait pas eu le courage d'adopter un enfant malade, eux, en revanche l'ont fait et surtout, ils se sont très bien occupés de moi. Et la personne à laquelle je ne voudrais pas être comparé est un de mes camarades de classe au collège, il s'est toujours montré odieux avec moi, il passait son temps à se moquer et à s'attaquer aux plus faibles - dont je faisais parti - j'ai donc du subir ses vacheries.
POUR TOI, C'EST QUOI LA SOIRÉE IDÉAL ?Je ne suis pas vraiment fêtard, d'ailleurs je ne peux pas me permettre d'aller en boite de nuit, les lieux trop fréquentés m'angoissent. Alors, je préfère nettement passer une petite soirée tranquille, à lire un bon roman ou à regarder un bon film. Mais j'aimerai un jour pouvoir passer une soirée avec des amis, une soirée intime et chaleureuse, voilà pour moi la soirée idéale.
PENDANT QU'ON PARLE D'IDÉAL, DÉCRIS NOUS UN PEU A QUOI RESSEMBLE L'HOMME OU LA FEMME DE TA VIE.Pour moi, la femme idéale doit être câline, je suis un garçon très câlin j'ai donc besoin qu'on me témoigne de l'affection. Je n'aime pas les femmes superficielles, je préfère nettement être avec une femme simple. Ma femme idéale serait aussi joyeuse et souriante, je n'ai pas besoin d'une femme déprimée dans ma vie, autant me tirer une balle dans la tête tout de suite. Quant au physique, je n'ai aucune préférence.
POUR FINIR, RACONTE NOUS QUELQUE CHOSE QUI T'AS MARQUÉ, UNE ANECDOTE DE TA VIE QUE TU N'OUBLIERAS JAMAIS. Le jour de mes dix-huit, quand j'ai appris que j'avais été adopté et que ceux que je croyaient être mes vrais parents ne l'étaient pas, j'ai cru que ma vie s'effondrait, j'aurai préféré que mes parents me le disent plus tôt. Je n'oublierais jamais ce que j'ai ressenti quand j'ai appris cette nouvelle, c'est comme si on me retirait mon identité et qu'on me disait que toute ma vie n'était qu'un énorme mensonge.
Samedi 30/07/1988
Tu es né il y a quelques minutes à peine, je n'ai pu te voir que quelques instants, mais je tenais à t'écrire cette lettre. Tu ne me connais pas, et je suppose qu'au moment où tu lis cette lettre, tu dois être en âge de connaître la vérité. Je suis ta mère, ta mère biologique, je veux dire, celle qui t'a porté pendant neuf mois et qui t'a mis au monde. Tu te demandes surement pourquoi je n'ai pas décidé de te garder, je ne cherche pas à me trouver des excuses, mais saches que te laisser partir a été très pénible pour moi. Laisse moi t'expliquer tout en détails. J'ai connu ton père à une soirée, j'avais abusé de la boisson et je l'ai suivi dans une chambre, voilà comment tu as été conçu. Désolée, je pense que tu aurais préféré que je te raconte une belle histoire d'amour, mais je tiens à te dire toute la vérité. Après cette soirée, je n'ai plus revu ce jeune homme, alors quand j'ai appris que j'étais enceinte j'ai complètement paniqué. Mes parents n'étaient pas d'accord pour que je te garde, mais en tant que bons croyants, ils ne voulaient pas non plus que j'avorte. J'étais très jeune tu sais, je le suis encore d'ailleurs, et si ça se trouve au moment où tu liras ceci, tu seras peut-être plus vieux que moi au moment où je t'écris. Les neuf mois de grossesse ont été très pénibles, surtout à partir du cinquième mois, quand j'ai appris que tu étais atteint d'une maladie. Les médecins m'ont dit que ce n'était pas mortel mais que tu en souffrirais toute ta vie, malheureusement il n'y avait rien à faire. Tu vas surement te dire que je suis lâche, mais je vais être honnête avec toi, mais je me suis dit que de toute manière je ne pourrais pas te garder, pas alors que tu sois atteint d'une maladie, je n'aurais probablement pas la force de te voir souffrir. Je suppose que tu dois me détester, je t'avoue que je me dégoûte moi-même. J'espère que les personnes qui vont t'adopter seront à la hauteur et prendront soin de toi, même si je ne te connais pas, saches que je t'aime, mon fils.
Je m'appelle Benjamin Christian Livingston, je suis atteint d'une maladie congénitale très rare, qui s'appelle le syndrome de Barth. Ma vie n'a pas été très simple, ma mère biologique, Élodie Marielle a décidé de me faire adopter. J'ai donc grandi au sein d'une famille en Suisse, mes parents adoptifs, Roger et Christie Livingston sont des personnes géniales. En m'adoptant ils se sont engagés à s'occuper d'un enfant malade. Ma maladie n'est pas mortelle, mais elle est très pesante. Enfant, j'étais beaucoup plus petit que les autres de mon âge, un des effets de la maladie dont je suis atteint. Je ne pouvais pas faire de sport, courir cinq minutes m'épuisait. Je ne pouvais pas jouer avec les enfants de mon âge dehors, mes parents avaient bien trop peur que je me blesse ou que je me fatigue de trop. Je me suis donc renfermé sur moi-même, je restai toujours tout seul chez moi, c'est comme ça que j'ai découvert la littérature et la musique.
Tout gosse j'adorai que ma mère me lise des histoires, j'avais une imagination débordante et en quelques minutes je pouvais créer tout un monde imaginaire. J'étais très impatient de pouvoir lire les beaux livres à la reliure de cuir qui se trouvaient dans la bibliothèque de mon père. En plus de la lecture, je me suis pris d'affection pour la musique, mon père m'a appris très tôt à jouer de la guitare, nous passions des heures à jouer ensemble et j'adorais ces moments de complicité. Je n'avais aucun ami à l'école, les autres me regardaient comme une erreur de la nature, à l'âge de dix ans, je ressemblais à un petit garçon de six-sept ans. Pareil pour le collège, mes parents étaient fous d'inquiétude de me laisser suivre des études normales comme n'importe quel gosse. Ils voulaient que je suive des cours à domicile, mais j'ai insisté pour qu'ils me laissent aller au collège. Je voulais vivre la vie la plus normale possible.
J'étais très bon élève, je suivais les cours avec intérêt et étais très assidu. Mes professeurs étaient très fiers de moi, mais ils ne cessaient de me répéter de participer un peu plus en classe, mais j'étais beaucoup trop timide pour prendre la parole devant tous mes camarades de classe. Après les cours, je rentrais tout de suite chez moi. Mon passe-temps favori était l'écriture, j'adorai inventer des histoires et les coucher sur papier. Puis vient le lycée. Heureusement, à la fin de mon adolescence je pris une poussée de croissance ce qui me permis d'attendre une taille et un poids normaux. Malheureusement, je ne pouvais toujours pas faire de sport, ou quoi que ce soit qui me demandait trop d'efforts. C'est aussi à cette période que j'ai commencé à m'intéresser aux filles, mais j'étais beaucoup trop timide pour oser en aborder une. J'ai eu ma première petite-amie à dix-sept ans, et oui j'étais très en retard. Nous sommes restés ensemble durant trois mois, après lesquels elle m'a quitté pour un autre. Cette rupture fut très douloureuse, mais je me consacrai entièrement à mes études pour ne plus y penser.
Le jour de mes dix-huit ans, mes parents me révélèrent une nouvelle qui bouleversa ma vie à jamais. J'appris ce jour là que j'avais été adopté, ce fut un véritable choc, les personnes que je pensais être mes parents ne l'étaient pas. Ils m'ont alors donné un carton, il y avait quelques photos d'une belle jeune femme, un bracelet de maternité, une peluche en piteux état ainsi qu'une lettre. Cette lettre que ma mère m'a écrite le jour de ma naissance. Après l'avoir lue, je me suis juré de retrouver ma mère biologique pour apprendre à la connaître. Durant des années, je n'ai jamais cessé de faire des recherches pour la retrouver, mais je ne trouvai rien. Puis, en ce jour du mois de Mars 2011, j'ai découvert que ma mère biologique avait quitté la France pour emménager dans une ville de Louisiane aux États-Unis, Bâton-Rouge. J'informais mes parents adoptifs que je voulais partir là-bas, ils ne prirent pas la peine de s'y opposer, car ils savaient que cela ne servirait à rien. J'ai donc fait tout le nécessaire pour m'inscrire à l'université de Bâton-Rouge afin de poursuivre mes études de Littérature. Je vis donc dans cette charmante petite ville depuis quelques semaines, bien déterminé à retrouver celle qui m'a mis au monde.
Sujet: Re: Benji' ♦ You say stop and I say go go go ! Ven 6 Mai - 19:41
Je suis la prem's à poster Yeeeeeeeeah' !! Nico Tortorella On aura bien bavé devant notre écran ce soir avec lui XD Bon courage pour ta fichounette et oublies pas le lien qui tue de la mort
Benjamin C. Livingston
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→ date d'arrivé : 06/05/2011 → messages : 211 → âge : 22 ans → avatar : Nico Tortorella