PROLOGUE : MOTHER AND FATHER

Mes parents se sont rencontré lors d’un voyage d’affaire aux Etats-Unis, mon père était un diplomate ecossais, habitué du voyage et plutôt fortuné. Ma mère commençait tout juste sa carrière d’agent, en effet, elle avait mit sa vie professionnelle entre parenthése quand elle mit au monde Robyn Veronica, ma demi sœur. Ma mère : Lynn est né en Suède et a emmenager aux Etats-Unis durant son adolescence. Après avoir epouser mon père : Aaron, elle le suivit dans ses deplacements, comprenant que sa carrière d’agent ne decollerait pas. Elle emmena sa fille, Veronica et suivit mon père, avant de tomber enceinte…


CHAPITRE 1 : BORN TO BE WILD

Je suis née le 30 mars 1993, a Johannesburg, en Afrique du Sud, d’ailleurs je parle plusieurs dialectes du pays, normal, j’y ai vecu un petit moment quand mon père travaillait la-bas. Je ne sais pas si j’étais particulièrement voulu…par mon père, je pense que oui, peut être pas au tout debut mais pendant la grossesse de ma mère, oui, il s’est fait a cet idée d’avoir une petite fille et ça lui a plu, d’ailleurs c’est lui qui m’a nommer « Megara Winterlynn Rhodes », petite, je m’était toujours dit que mes prenoms avaient un sens caché, que c’était le nom de personnes de la famille de mon père ou quelque chose comme ça…En faite, mon père a tout simplement trouver ces noms très beau…vive l’originalité ! Mais j’aurai pu tomber sur pire… « Megara » sonne bien mieux que n’importe quel « Britanny » non ? Mon père m’a toujours raconter que le jour de ma naissance était le seul et unique ou ma mère lui a dit « hein ? mais tu pleure ?? », a chaque fois qu’il pouvait me raconter cette histoire, cela me faisait rire car mon père pleurer c’était le truc bien impossible. Il n’était pas particulièrement dur ni rien, au contraire il était même plutôt le genre de papa que toute les petites filles veulent avoir mais c’était « un homme » et les hommes ça pleure pas me disait mon père…mais cela m’a sembler bizarre car aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais vu ma mère pleurer non plus…


CHAPITRE 2 : ENCHANTED

Mon enfance peut faire rever, ou pas…En faite je n’ai jamais vecu deux ans de suite dans la même ville…ou le même pays…Quand je fait le calcule j’ai du vivre dans environ 6 ou 7 pays, une année a Paris, une année a Londres, Berlin, Barcelone, Madrid, Rome, Vienne, Sydney, Ottawa…Cela a eu tout de même le merite de me faire parler autant de langue que de pays visité, depuis toute petite je parle 6 langues : anglais, français, espagnol, allemand, italien, portugais…sans parler des quelques dialectes rares mais que je maitrise un minimum… J’ai voyager toute cette periode avec mon père, ma mère et ma sœur ainée, d’ailleurs nous sommes devenue très proche pendant cette periode…On s’adorait, toujours a faire les folles ensemble. Mon père était egalement un compagnon de jeu exceptionnelle quand il ne travaillait pas…Les week-end, ils s’occupaient de nous deux. En faite j’ai vraiment eu le père idéal, celui qui appelle sa fille « ma princesse », qui regarde les dessins animés avec elle, qui la fait monter sur ses épaules quand elle fatigué, qui lui offre un chiot pour Noel…A vrai dire a cette epoque je n’avait pas remarqué que tout le temps libre de mon père était pour moi, maintenant je me rend compte que j’étais certainement la seule chose qui faisait que mon père restait avec ma mère…Ils ne s’entendaient plus, ne se parlaient plus…J’étais le pourquoi mon père restait, le compte en banque de mon paternel, la raison du pourquoi ma mère restait elle aussi. Nous avons commencé a grandir, ma demi sœur et moi…Quand elle eu 13 ans et moi onze, j’entendit cette violente dispute entre elle et ma mère…Comme d’habitude, quand cela criait trop fort, mon père venait dans ma chambre, allumait la télé et regardait un dessins animé en ma compagnie, le son couvrant le bruit des cri et lui me rassurait…Cette dispute n’était pas la première…mais ce fut la dernière…Le lendemain, ma sœur prenait le premier avion pour les Etats-Unis, elle partait vivre avec son propre père, me laissant seule avec mes parents…Ce fut un choc pour moi car je perdais l’une de mes meilleures amies…


CHAPITRE 3 : PAPA CAN YOU HEAR ME ?

Tout a commencé l’été de mes treize ans, ma sœur, je ne l’avait pas revu, j’avait a peine quelques nouvelles, a cette epoque, j’habitait a Dublin, en Irlande, d’ailleurs j’adorais cette ville. Mon père était de plus en plus distant avec moi…Ce n’était pas normal…Avec ma mère, je comprenait, avec moi, non. Il n’y avait aucune raison…Au depart je penseais que cela venait du fait que je devenait adolescente, que je quittait mon enveloppe de petite fille pour une autre et que cela le genait…C’était normal qu’on ne joue plus tout les deux a certains jeux d’enfants mais on pouvait continuer a être proche non ? Notre amour commun pour la musique par exemple ! Je me disais ensuite que le fait que j’arrivait plus a satisfaire mon père en tant qu’enfant allait le faire quitter ma mère, que j’allait le perdre…A vrai dire c’était encore pire que ça…Alors qu’il était partit pour son trajet habituel pour travailler, il ne revint pas a la maison…ma mère appella les autorités, on le retrouva dans sa voiture, garé prêt de son travail…il ne savait plus comment rentrer a la maison…Le diagnostic des medecins était clair et précis : Alzheimer. Sur le coup je ne comprenait pas trop…Qu’allait-il advenir de mon père ? Tout d’abord, il du abandonner son travail et nous devions nous installer…Mon père insista pour aller vivre a Baton Rouge, une ville qu’il avait toujours rever de visiter mais ou son travail l’empechait…Ma famille s’executa et nous partimes aux Etats-Unis, en Louisiane. Si au depart, il vivait avec nous, la maladie empira…il oubliait mon anniverssaire…le nom de jeune fille de ma mère…puis mon prenom…Rien de pire que de voir le heros de votre enfance vous regarder comme si vous etiez un inconnu…Ma mère de son coté, fit une croix sur lui quand il entra a l’hopital de Baton Rouge…Cela fut dur pour moi d’accepter qu’elle l’abandonne de cette façon…mais je savais après tout depuis des années qu’elle ne l’aimait plus…



CHAPITRE 4 : TEENAGE DREAM

Mon adolescence s’est deroulé d’une façon assez « normale » pour la fille a l’enfance peu normal que j’ai eu. J’allais au lycée, et j’habitais dans une maison ou pour la première fois, je n’avais pas cette constante impression que je ne devais pas me faire d’amis a cause de la separation qui surviendrait bientôt. J’ai toujours été une gamine sociable malgré le fait que je m’attachait le moins possible. Cependant, le lycée est une periode ou je reussit a m’integrer. A vrai dire , dés ma première année, le fait que je venait « de loin » pour ne pas dire « de partout », interessait tout le monde. Moi, je rentrait pour la première fois dans un environnement très scolaire et comme on voit seulement a la télé. Vous comprenez que j’ai voulu m’inscrire a tout les clubs et toutes les associations possible ! Finalement je finit en etant cheerleader, dans le club de théatre, capitaine de la chorale et dans l’association des « élèves du monde » souvent charger de l’integration des nouveaux élèves dans le lycée. Ma mère pendant ce temps la travaillait comme denicheuse de talent pour une grande boite d’agence, elle voyageait beaucoup…D’ailleurs, je ne savais pas que ce voyage en Argentine allait changer dans plusieurs années , que le nom de « Dana Kalakos » que jusque la je n’entendais que lors de discution de ma mère au téléphone allait revenir. Ma mère travaillait enormement, moi j’essayait d’être a la fois douée a l’école et d’en plus être populaire ce qui n’était pas une mince affaire.


CHAPITRE 5 : ROCK GOD

Comme je l’ai dit, je suis capitaine de la chorale de mon école…pourquoi ? Parceque je vit tout simplement pour la musique et les arts de la scène. C’est mon père qui m’a, il y a plusieurs années déjà, transmit cette passion pour la musique. Il m’a apprit a chanter, a jouer de la guitare et du piano, deux instruments que j’adore. Même si mon coté un peu survolté laisse penser les gens que la guitare est l’instrument qui me correspond le mieux et avec lequel je suis la plus douée…Chanter et jouer c’est ce que j’aime le plus ! Mais il n’y a pas que ça car vous avez devant vous une auteur compositeur ! Oui j’écrit mes propres textes et je les met moi-même en musique (oui je trouve encore le temps de faire ça…c’est fou non ?). De quoi elles parlent ? Souvent de faire la fête…faut dire que les histoires d’amour j’en ai pas vraiment connu…enfin de vrai histoire d’amour.


CHAPITRE 6 : HIGHER LOVE

Oui j’avait oublié d’ommettre que je ne suis pas nonne et que j’ai eu et ai des petits amis…Souvent ces amourettes étaient bien trop fragile et pas franchement le genre de chose sur lequel je batissait pour l’avenir. Je n’ai jamais pensé a un de mes petits amis comme mon futur mari ou le père de mes futur enfants. Non seulement je suis trop jeune mais je suis habitué a sortir avec ces footballeur imbu de leur personne, mais c’est bon pour la reputation et je dois l’avouer…me retrouver seule c’est quelque chose dont j’ai très peur…D’ailleurs mon dernier petit ami en date n’est pas triste. Oui c’est un beau joueur de football americain, oui il fait un metre quatre vingt et toute les filles me l’envie…mais disons qu’avec moi il n’est pas le garçon idéal qu’il veut laisser paraitre. En effet quand j’ai commencé a sortir avec Nathan je ne pensais pas au cercle vicieux dans lequel j’entrais…Un garçon violent sur les bord, accro aux soirées très arrosé et adorant me tripoter a qui j’ai du pretendre une très mauvaise experience sexuelle antérieur pour qu’il me laisse tranquille (alors qu’a vrai dire je n’en ai jamais eu d’experience sexuelle mais ça chut !)


CHAPITRE 7 : LISTEN

Quand j’ai apprit que ma mère s’était fiancé avec le veuf de cette chanteuse Dana Kalakos, décédée d’un accident de voiture plus tôt. Oui parceque depuis le debut je vous parle de ma très cher mère Lynn mais a vrai dire notre relation pourrait être l’objet d’un livre ! Depuis la maladie de mon père (et cela avait commencé après le depart de ma sœur) ma mère me voit comme une mini-elle. Elle essaie de faire de moi une fille « bien » mais comme elle l’a voit elle. Hors de question que je sorte avec n’importe qui, que je porte n’importe quoi. Pour elle mon avenir est tout tracé : je deviendrai une agent très connu, marié vers 25 ans avec quelqu’un de la boite et mère mais pas avant mes trentes ans. Je pense que n’importe quel gamine de 17 ans dans mon genre aurait litteralement peter un cable mais je fait des efforts, j’essaie d’être la plus agréable possible, de l’écouter dans ses conseils…Après tout ça ne peut que arranger notre relation et puis j’essaie de lui faire oublier doucement sa première fille avec qui ça n’a pas marcher…Même si dans 95% du temps, ma mère me tape vraiment sur les nerfs…


EPILOGUE : THE CLIMB

Habiter avec des inconnus n’est pas le truc le plus difficile a gerer dans le remariage de ma mère…Enfin oui et non. J’ai dit au revoir a ma grande sœur il y a quelques années et la je vais devoir me coltiner un frère et une sœur…en plus il a mon age…J’ai déjà plaisanter devant ma mère « si il y mignon je te promet rien ! » elle m’a alors jeter ce regard noir que j’ai très bien comprit…cette relation elle y tenait et je n’avait pas le droit de faire un seul faux pas ! Je sais qu’ils s’appellent Wael et Penelope, qu’elle est plus petite que moi…D’ailleurs ça aussi je l’apréhende …je ne sais pas quel attitude adopter avec eux …Je ne veux pas jouer a etre leur sœur, je ne veux pas être froide et les laisser de leur coté…A vrai dire, j’ai très envie de faire leur conaissance…J’ai envie de savoir ce qu’ils aiment et être leur ami vu que je serrai jamais leur sœur…un remariage c’est pas toujours facile et faudrait qu’on se soutienne…Bon ok c’est super guimauve ce que je viens de dire mais c’est pas un peu vrai ?